ACTU. ASBH

[el gringo]

Jb ne cherche pas la syntaxe ou je ne sais quoi.

Dis moi si ce qui est écrit ci dessous a été respecté

En cas de résiliation pour faute grave du salarié, l'employeur doit mettre en place la procédure disciplinaire :

Convocation du salarié (par LRAR ou remise en main propre contre décharge) à un entretien préalable. Elle doit comporter mention de l’objet de l’entretien, la date, le lieu et l'heure de l'entretien, ainsi que la possibilité de se faire assister.
L'entretien doit avoir lieu au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la convocation.
Après l'entretien, l'employeur doit attendre au moins 2 jours ouvrables pour envoyer la lettre de licenciement en LRAR devant préciser le motif de résiliation.
Le non-respect de la procédure peut le conduire à verser des dommages et intérêts au salarié.

Donc cette réunion du samedi matin ne respecte rien de la procédure et ensuite autre grosse difficulté prouver que Caillet a fait une faute grave.

Tu sembles bien au courant de comment ça c'est passé, quel motif il est viré, ce qui s'est dit à cette réunion, qu'il n'y a pas eu de procédure...
Tu es certainement proche du dossier pour être aussi péremptoire..

[jb1080]

Jb ne cherche pas la syntaxe ou je ne sais quoi.

Dis moi si ce qui est écrit ci dessous a été respecté

En cas de résiliation pour faute grave du salarié, l'employeur doit mettre en place la procédure disciplinaire :

Convocation du salarié (par LRAR ou remise en main propre contre décharge) à un entretien préalable. Elle doit comporter mention de l’objet de l’entretien, la date, le lieu et l'heure de l'entretien, ainsi que la possibilité de se faire assister.
L'entretien doit avoir lieu au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la convocation.
Après l'entretien, l'employeur doit attendre au moins 2 jours ouvrables pour envoyer la lettre de licenciement en LRAR devant préciser le motif de résiliation.
Le non-respect de la procédure peut le conduire à verser des dommages et intérêts au salarié.

Donc cette réunion du samedi matin ne respecte rien de la procédure et ensuite autre grosse difficulté prouver que Caillet a fait une faute grave.

Peut-être qu elle ne respecte rien de la procédure car elle n’en est pas une. Et que cette entrevue n’avait pas de motif définitif, seulement une entrevue pour évoquer les éventuelles options quand à l’avenir du coach. Et que ce qu'il en est ressortis c’est que la collaboration serait délicate et qu'une séparation s’envisagerais à ce moment là. Et que la procédure à été lancée plus tard en respectant cette fois toutes les étapes.

On ne sait pas si il a été notifié, ce samedi matin, clairement, texto : tu es licencié, et si Caillet peut en apporter la preuve sur le moment.

Je ne cherche pas la syntaxe ou autre, seulement à comprendre.

Je ne conteste pas que les étapes n’ont pas étés respectées si effectivement cette entrevue du samedi matin était cet entretien préalable. Mais rien ne dit que cet entretien ne s’est pas produit plus tard et que donc les procédures ont étés respectées à ce moment là.

[saucmed]

Jb ne cherche pas la syntaxe ou je ne sais quoi.

Dis moi si ce qui est écrit ci dessous a été respecté

En cas de résiliation pour faute grave du salarié, l'employeur doit mettre en place la procédure disciplinaire :

Convocation du salarié (par LRAR ou remise en main propre contre décharge) à un entretien préalable. Elle doit comporter mention de l’objet de l’entretien, la date, le lieu et l'heure de l'entretien, ainsi que la possibilité de se faire assister.
L'entretien doit avoir lieu au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la convocation.
Après l'entretien, l'employeur doit attendre au moins 2 jours ouvrables pour envoyer la lettre de licenciement en LRAR devant préciser le motif de résiliation.
Le non-respect de la procédure peut le conduire à verser des dommages et intérêts au salarié.

Donc cette réunion du samedi matin ne respecte rien de la procédure et ensuite autre grosse difficulté prouver que Caillet a fait une faute grave.

Peut-être qu elle ne respecte rien de la procédure car elle n’en est pas une. Et que cette entrevue n’avait pas de motif définitif, seulement une entrevue pour évoquer les éventuelles options quand à l’avenir du coach. Et que ce qu'il en est ressortis c’est que la collaboration serait délicate et qu'une séparation s’envisagerais à ce moment là. Et que la procédure à été lancée plus tard en respectant cette fois toutes les étapes.

On ne sait pas si il a été notifié, ce samedi matin, clairement, texto : tu es licencié, et si Caillet peut en apporter la preuve sur le moment.

Je ne cherche pas la syntaxe ou autre, seulement à comprendre.

Je ne conteste pas que les étapes n’ont pas étés respectées si effectivement cette entrevue du samedi matin était cet entretien préalable. Mais rien ne dit que cet entretien ne s’est pas produit plus tard et que donc les procédures ont étés respectées à ce moment là.

C’est bien possible ce que tu avances, mais le droit ne laisse pas de place aux errements et je suis certain que Caillet aura gain de cause au final. Crois en mon expérience prud’hommale.

[saucmed]

Jb ne cherche pas la syntaxe ou je ne sais quoi.

Dis moi si ce qui est écrit ci dessous a été respecté

En cas de résiliation pour faute grave du salarié, l'employeur doit mettre en place la procédure disciplinaire :

Convocation du salarié (par LRAR ou remise en main propre contre décharge) à un entretien préalable. Elle doit comporter mention de l’objet de l’entretien, la date, le lieu et l'heure de l'entretien, ainsi que la possibilité de se faire assister.
L'entretien doit avoir lieu au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la convocation.
Après l'entretien, l'employeur doit attendre au moins 2 jours ouvrables pour envoyer la lettre de licenciement en LRAR devant préciser le motif de résiliation.
Le non-respect de la procédure peut le conduire à verser des dommages et intérêts au salarié.

Donc cette réunion du samedi matin ne respecte rien de la procédure et ensuite autre grosse difficulté prouver que Caillet a fait une faute grave.

Tu sembles bien au courant de comment ça c'est passé, quel motif il est viré, ce qui s'est dit à cette réunion, qu'il n'y a pas eu de procédure...
Tu es certainement proche du dossier pour être aussi péremptoire..

Non je ne suis pas proche du dossier, juste mon expérience prud’hommale sur la réunion du samedi matin et leur communiqué qui s’en est suivi, ça plombe leur dossier juridique !

[11 BRENNUS]

Jb ne cherche pas la syntaxe ou je ne sais quoi.

Dis moi si ce qui est écrit ci dessous a été respecté

En cas de résiliation pour faute grave du salarié, l'employeur doit mettre en place la procédure disciplinaire :

Convocation du salarié (par LRAR ou remise en main propre contre décharge) à un entretien préalable. Elle doit comporter mention de l’objet de l’entretien, la date, le lieu et l'heure de l'entretien, ainsi que la possibilité de se faire assister.
L'entretien doit avoir lieu au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la convocation.
Après l'entretien, l'employeur doit attendre au moins 2 jours ouvrables pour envoyer la lettre de licenciement en LRAR devant préciser le motif de résiliation.
Le non-respect de la procédure peut le conduire à verser des dommages et intérêts au salarié.

Donc cette réunion du samedi matin ne respecte rien de la procédure et ensuite autre grosse difficulté prouver que Caillet a fait une faute grave.

Peut-être qu elle ne respecte rien de la procédure car elle n’en est pas une. Et que cette entrevue n’avait pas de motif définitif, seulement une entrevue pour évoquer les éventuelles options quand à l’avenir du coach. Et que ce qu'il en est ressortis c’est que la collaboration serait délicate et qu'une séparation s’envisagerais à ce moment là. Et que la procédure à été lancée plus tard en respectant cette fois toutes les étapes.

On ne sait pas si il a été notifié, ce samedi matin, clairement, texto : tu es licencié, et si Caillet peut en apporter la preuve sur le moment.

Je ne cherche pas la syntaxe ou autre, seulement à comprendre.

Je ne conteste pas que les étapes n’ont pas étés respectées si effectivement cette entrevue du samedi matin était cet entretien préalable. Mais rien ne dit que cet entretien ne s’est pas produit plus tard et que donc les procédures ont étés respectées à ce moment là.

C’est bien possible ce que tu avances, mais le droit ne laisse pas de place aux errements et je suis certain que Caillet aura gain de cause au final. Crois en mon expérience prud’hommale.

Voilà ,on va casquer... Adieu veaux ,vaches, cochons. Il va bien falloir qu'ils amènent des espèces sonnantes et trébuchantes, ils sont présidents, ils sont responsables. Marre que ce club déjà peu argenté soit pris pour une pompe à fric depuis trop longtemps. Notre cas est unique !

[saucmed]

Peut-être qu elle ne respecte rien de la procédure car elle n’en est pas une. Et que cette entrevue n’avait pas de motif définitif, seulement une entrevue pour évoquer les éventuelles options quand à l’avenir du coach. Et que ce qu'il en est ressortis c’est que la collaboration serait délicate et qu'une séparation s’envisagerais à ce moment là. Et que la procédure à été lancée plus tard en respectant cette fois toutes les étapes.

On ne sait pas si il a été notifié, ce samedi matin, clairement, texto : tu es licencié, et si Caillet peut en apporter la preuve sur le moment.

Je ne cherche pas la syntaxe ou autre, seulement à comprendre.

Je ne conteste pas que les étapes n’ont pas étés respectées si effectivement cette entrevue du samedi matin était cet entretien préalable. Mais rien ne dit que cet entretien ne s’est pas produit plus tard et que donc les procédures ont étés respectées à ce moment là.

C’est bien possible ce que tu avances, mais le droit ne laisse pas de place aux errements et je suis certain que Caillet aura gain de cause au final. Crois en mon expérience prud’hommale.

Voilà ,on va casquer... Adieu veaux ,vaches, cochons. Il va bien falloir qu'ils amènent des espèces sonnantes et trébuchantes, ils sont présidents, ils sont responsables. Marre que ce club déjà peu argenté soit pris pour une pompe à fric depuis trop longtemps. Notre cas est unique !

Tous les clubs se retrouvent aux prud’hommes à m’en donné

[el gringo]

La réponse à la fin de la saison prochaine... C'est bien ça ? 1 ans et Demi de procédure puis appel puis ... il y en a pour lonnnnngtemps. Il y a le temps pour provisionner tout ça !!! Entre temps le budget 2027 sera bouclé
Vous inquiétez pas... Ça va bien se passer... On aura presque oublié le nom de Caillet !!!

[saucmed]

La réponse à la fin de la saison prochaine... C'est bien ça ? 1 ans et Demi de procédure puis appel puis ... il y en a pour lonnnnngtemps. Il y a le temps pour provisionner tout ça !!! Entre temps le budget 2027 sera bouclé
Vous inquiétez pas... Ça va bien se passer... On aura presque oublié le nom de Caillet !!!

Les sommes demandées dès la saisine des Prud’hommes doivent être provisionnées et en apporter la preuve à l’a2r car elles sont ajoutées au budget prévisionnel de cette saison.

Comme Caillet est cadre, c’est la section encadrement du conseil des Prud'hommes qui va entendre l’affaire, il y a moins de dossiers qu’en section commerce ou activités diverses, c’est dans cette dernière que sont entendus les dossiers des joueurs, donc il est possible qu’en encadrement ça aille un poil plus vite. peut être au printemps une décision prud’hommale.