JM a écrit:TRANSFERTS - Actuels sixièmes du classement de Pro D2, Carcassonne s'active sur le marché des transferts. D'après les informations de l'Indépendant, cinq joueurs pourraient rapidement s'engager à l'USC pour la saison prochaine. Parmi eux, on retrouve notamment les deux expérimentés castrais, Pierre Aguillon et Loïc Jacquet.
Les trois autres joueurs en contacts avancés sont : le demi de mêlée vannetais Pierre Pagès, le troisième ligne oyonnaxien Étienne Herjean et le pilier narbonnais Jules Martinez. Par ailleurs, toujours selon l'Indépendant, l'ouvreur vannetais, Christopher Hilsenbeck a également été contacté par le club audois.
Guillaume a écrit:JM a écrit:TRANSFERTS - Actuels sixièmes du classement de Pro D2, Carcassonne s'active sur le marché des transferts. D'après les informations de l'Indépendant, cinq joueurs pourraient rapidement s'engager à l'USC pour la saison prochaine. Parmi eux, on retrouve notamment les deux expérimentés castrais, Pierre Aguillon et Loïc Jacquet.
Les trois autres joueurs en contacts avancés sont : le demi de mêlée vannetais Pierre Pagès, le troisième ligne oyonnaxien Étienne Herjean et le pilier narbonnais Jules Martinez. Par ailleurs, toujours selon l'Indépendant, l'ouvreur vannetais, Christopher Hilsenbeck a également été contacté par le club audois.
Ils l'ont caché où la planche à billets ?
Cyril a écrit:Ils se débrouillent toujours les ' canaris' , un recrutement encore qualtitatif et bien rodé pour la Pro D2 !
Eric le Rouge (et bleu) a écrit:Cyril a écrit:Ils se débrouillent toujours les ' canaris' , un recrutement encore qualtitatif et bien rodé pour la Pro D2 !
Carca c'est un cas à part.
larevolte a écrit:Finale Pro D2 à Montpellier , comme quoi vaut mieux avoir les bras longs que la 1ére pelouse de Top14 et ProD2
drop 74 a écrit:larevolte a écrit:Finale Pro D2 à Montpellier , comme quoi vaut mieux avoir les bras longs que la 1ére pelouse de Top14 et ProD2
Les bras longs ou/et un portefeuille bien garni!
Cela dit, la finale de prod2, on s'en fiche un peu quand on n' y est pas.
saucmed a écrit:drop 74 a écrit:larevolte a écrit:Finale Pro D2 à Montpellier , comme quoi vaut mieux avoir les bras longs que la 1ére pelouse de Top14 et ProD2
Les bras longs ou/et un portefeuille bien garni!
Cela dit, la finale de prod2, on s'en fiche un peu quand on n' y est pas.
il n'y aura jamais une finale de prod2 dans un stade d'une équipe de prod2 (surtout si cette équipe pourrait participer aux phases finales).
quand on voit que 6 ou 8 mois avant les places pour la finale du top14 sont déjà à la vente ! c'est terminé le temps où il fallait vite prendre les places dans la semaine précédant le match de phase finale.
pour prendre nos places ..saucmed a écrit:drop 74 a écrit:larevolte a écrit:Finale Pro D2 à Montpellier , comme quoi vaut mieux avoir les bras longs que la 1ére pelouse de Top14 et ProD2
Les bras longs ou/et un portefeuille bien garni!
Cela dit, la finale de prod2, on s'en fiche un peu quand on n' y est pas.
il n'y aura jamais une finale de prod2 dans un stade d'une équipe de prod2 (surtout si cette équipe pourrait participer aux phases finales).
quand on voit que 6 ou 8 mois avant les places pour la finale du top14 sont déjà à la vente ! c'est terminé le temps où il fallait vite prendre les places dans la semaine précédant le match de phase finale.
Ce sport a perdu toute sa saveur.
Quand les phases finales commençaient en 1/16ème de finale on languissait de savoir où on allait jouer sur terrain neutre et on se precipitait au petit bureau de l'ASB rue Fourier derrière monoprix
pr procyon a écrit:Entre Courtaud, Alquier et Plazy on est bien. Il manque pour la saison prochaine un ailier épais pour changer de physionomie
pr procyon a écrit:Rawaca il est complètement perdu ..... dommage mais à mon avis il ne sera plus biterrois
Autre dilemme c'est en 9. Valentine devrait se voir proposer un contrat en fin de saison. Mais il reste Munilla pour un an et Goillot qui arrive en fin.
Sachant que le club cherche un 9 de bon niveau je pense qu'on va garder Valentine, Munilla et ce fameux demi de mêlée.....Goillot ne sera plus biterrois à mon avis. Ça n'engage que moi
On sait aussi qu'Espeut est courtisé et qu'il partira rapidement. Sachant qu'il a un contrat pro-espoir autant le laisser partir en fin de saison et récupérer des indemnités de formation. Sinon avec ces clauses top 14 on récupérera que dalle...
pr procyon a écrit:4 neufs ????? On n'est pas le stade toulousain déjà un de très bon ce sera pas mal
pr procyon a écrit:Un article sur quoi ?
pr procyon a écrit:Un article sur quoi ?
serge011177 a écrit:Si quelqu’un a l’article de l équipe apparemment il y’a un éclaircissement sur l affaire domici
larevolte a écrit:serge011177 a écrit:Si quelqu’un a l’article de l équipe apparemment il y’a un éclaircissement sur l affaire domici
Samir Ben Romdhane, l'homme qui a berné Christophe Dominici
À Béziers, le club de rugby qui a remporté onze titres de champion de France est une véritable institution. Mais depuis 2011, il végète en Pro D2. Alors quand Christophe Dominici s'est présenté comme le héraut d'un ambitieux projet au printemps 2020, le tout Béziers a cru au grand retour. Mais la reprise n'a jamais abouti. Un épisode rocambolesque qui a précédé de quelques mois la mort tragique de l'ancien ailier international, le 24 novembre 2020.
La raison de l'échec ? Simple et basique, et finalement courante dans le milieu du sport habitué à croiser quelques personnages fantasques. À Béziers, le potentiel acheteur n'a jamais réussi à prouver sa solvabilité même si, à plusieurs reprises, il a brandi aux yeux des sceptiques des relevés de compte bien garnis, d'au moins plusieurs dizaines de millions d'euros. Cet acheteur s'appelle Samir Ben Romdhane, un Franco-Tunisien âgé de 52 ans. Il se présentait comme un businessman aux activités multiples, ayant fait fortune dans l'immobilier et le pétrole. Où ? Un peu partout, en Allemagne, où il a vécu et aurait conservé quelques inimitiés. Au Moyen-Orient également. Il indiquait notamment qu'il entretenait des liens très forts avec de richissimes Émiriens.
Mais le conditionnel est de mise car, à aucun moment durant notre enquête, nous n'avons eu confirmation de sa fortune. Depuis l'automne 2020, il vivrait aux Émirats arabes unis, sans sa famille restée à Paris. Il y a une quinzaine de jours, il serait revenu en France mais pour un court séjour. Insaisissable et injoignable, aussi. Thierry Braillard, l'ancien secrétaire d'État aux Sports, qui est son avocat et est intervenu dans la tentative de reprise du club, a refusé de nous répondre et de nous mettre en relation avec son client. On n'a pas eu plus de chance avec Philippe Baillard, le bras droit de Ben Romdhane, directeur financier ou administratif des sociétés Sotaco, qui devait devenir coprésident de l'AS Béziers. « Je n'ai pas envie qu'il parle, car il va aller dans la gueule du loup, il va se faire piéger. Je ne peux pas cautionner ça. »
« Il est sympathique, peut-être un peu trop sympathique, c'est un beau parleur, un homme habile »
Robert Ménard, maire de Béziers
Alors qui est Samir Ben Romdhane ? Un homme peu fiable ? Un affabulateur ? L'entourage de Christophe Dominici emploie d'autres mots et songe agir en justice pour en savoir plus sur ce personnage. Loretta Denaro, la veuve de Christophe Dominici, n'a pas souhaité faire de commentaire.
Une chose est certaine, à Béziers, beaucoup ont cru en Samir Ben Romdhane, à commencer par Robert Ménard, le maire : « Il est sympathique, peut-être un peu trop sympathique, c'est un beau parleur, un homme habile. » Habile et élégant. Le costume trois-pièces taillé sur mesure est toujours impeccable. « Quand je suis allé à Paris pour le rencontrer, c'était chez lui, une adresse chic, un appartement chic. Tout est alors plausible, crédible. De plus, son avocat est connu, un ancien secrétaire d'Etat. Et Me Braillard m'a conforté à plusieurs reprises sur la solidité du projet des repreneurs. »
L'appartement dont parle Ménard, qui a vu défiler beaucoup de monde dont Me Braillard ou Bernard Laporte, se situe dans le VIIIe arrondissement. Un logement qui a joué un rôle capital dans cette histoire. « À l'automne 2019, se souvient Yannick Pons, associé de Christophe Dominici dans plusieurs sociétés, notamment viticoles, je demande à un ami, Alain Proux, si je peux aller passer quelques jours à Paris, dans son appartement. Je me retrouve dans cet appartement. À un moment, Alain Proux, qui voulait le vendre, me demande d'assurer une visite avec de potentiels acheteurs. J'accepte, j'achète une bouteille, je prépare le rendez-vous. Arrivent alors Samir Ben Romdhane et son épouse. La visite se passe bien. Ils s'engagent à l'acheter... »
Au cours de l'échange, Yannick Pons se dévoile, raconte qu'il fait du vin. Les Ben Romdhane lui rétorquent qu'ils ont toujours rêvé d'investir dans ce domaine. « Quelques mois plus tard, en mars 2020, se souvient Pons, Samir me demande s'il peut venir à Béziers afin de visiter les terres. Il est intéressé, il veut acheter. Il vient chez moi, tout se passe bien. On va au restaurant, au Lavoir, où on a d'ailleurs passé beaucoup de temps avec Christophe. On parle de Béziers et aussi du club de rugby qui n'est pas au mieux. Il est accompagné de son homme de confiance, Philippe Baillard. Ben Romdhane lâche alors qu'il peut aider le club. Il me demande d'appeler le maire pour voir ce qu'il est possible de faire. Robert Ménard nous donne un rendez-vous, le lendemain, à 8 heures, à la mairie. »
Une réunion se tient, puis une deuxième, puis une troisième. Les propriétaires du club, Cédric Bistué et Pierre-Olivier Valaize, y participent... « Mais moi, je n'y connais rien au rugby », reconnaît Pons qui nous a d'ailleurs confié durant l'entretien qu'il avait longtemps pensé pouvoir faire des affaires avec Ben Romdhane, notamment en vendant du vin et de l'eau au Moyen-Orient. « Alors rapidement, poursuit-il, je dis à tout le monde qu'il faut faire appel à Christophe Dominici. Je l'appelle, je lui présente la chose. Il me répond dans la foulée qu'il arrive. »
«À chaque fois que « Domi » appelait Ben Romdhane pour lui demander si telle signature était possible, il réfléchissait deux secondes avant de dire oui. Les salaires étaient incroyables »
La machine démarre, elle s'emballe vite. Dominici rencontre Ben Romdhane. Les soirées s'éternisent. Un véritable coup de foudre. « Ils s'appelaient "mon frère" », raconte Jean-Marie Dominici, le père de Christophe. Dominici travaille, ne dort plus, ou peu. Il recharge son téléphone trois fois par jour. Il croit au projet. Un sentiment de revanche l'habite. Il n'a pas digéré la fin de son histoire avec le Stade Français (Démis de ses fonctions d'entraîneur adjoint en septembre 2009.). Les agents débarquent. Le recrutement prend forme, le staff technique aussi.
Benjamin Bagate, qui devait devenir directeur sportif, n'a rien oublié. « À chaque fois que Domi appelait Ben Romdhane, pour lui demander si telle signature était possible, il réfléchissait deux secondes avant de dire oui. Les salaires étaient incroyables. » Les noms de Jordan Taufua, numéro 8 du LOU, et de Ma'a Nonu, le centre all black double champion du monde, apparaissent dans le tableau prévisionnel. Un contrat de trois ans les attend, avec 45 000 euros la première saison, 55 000 la deuxième et plus de 70 000 euros la dernière. Le budget pour la saison 2020-2021 approche les 16 M€.
Samir Ben Romdhane (à gauche avec son fidèle collaborateur, Philippe Baillard, à droite) et Stéphane Chauffour, jour de golf professionnel (au centre) (DR)
Samir Ben Romdhane (à gauche avec son fidèle collaborateur, Philippe Baillard, à droite) et Stéphane Chauffour, jour de golf professionnel (au centre) (DR)
En parallèle, les négociations avec les propriétaires avancent. Trois documents officiels sont signés : un accord de confidentialité, une lettre d'intention, puis un protocole d'accord de 15 pages. Ben Romdhane, Me Braillard, son avocat, et Philippe Baillard, le directeur financier, dévoilent la répartition du capital. Elle est expliquée dans une note dont le contenu a été porté à notre connaissance et qui dévoile un montage complexe de sociétés, toutes baptisées Sotaco quelque chose et basées aux Émirats arabes unis, mais aussi en France, rue des Rigoles, dans le XXe... «Des coquilles vides », selon un connaisseur du dossier.
Apparaît aussi le nom de Mohammed Hratz Bakhit Suhail Al Rashdi, présenté par Samir Ben Romdhane comme un prince et son partenaire financier. Nous avons sollicité en vain le prince qui pourrait en définitive ne pas en être un. Sur le site Internet de sa société, United Global Holding, il se fait appeler Docteur Al Rashdi et ne revendique jamais son appartenance à une quelconque noblesse. Mais, pour acheter un club, il ne suffit pas de signer des bouts de papier, il faut mettre de l'argent et passer l'obstacle de la DNACG qui depuis la loi Braillard de 2017 contrôle et évalue les projets d'achat. Le 2 juillet 2020, sur RMC, Dominique Debreyer, le président de la DNACG lâche : « Je n'ai pas vu l'ombre pour l'instant d'un bout de dossier. »
Une déclaration qui interpelle le maire de Béziers. Le 4 juillet, le patron de l'organe financier, reprend la parole. Il a reçu des documents mais ajoute que le dossier est incomplet. Las, épuisé, Christophe Dominici propose alors de signer un chèque de 300 000 euros pour accélérer le procédé et arranger Ben Romdhane qui peine à débloquer les fonds. Me Braillard a une autre idée. Il propose à l'ancien joueur d'effectuer un prêt. Dans un mail, il écrit : « En cas de non-remboursement, le groupe Montebacco pourrait devenir propriétaire des actions achetées. » Montebacco, c'est le nom d'une des entreprises de Christophe Dominici.
Le 8 juillet, les repreneurs produisent une lettre de confort de la banque de Chine, selon laquelle la société a une réserve de 20 millions de dollars. Rapidement, quelques protagonistes émettent des doutes sur la véracité du document. Pourtant, le 13 juillet, la DNACG étudie le dossier. La réunion se passe en visioconférence à deux jours de la fin du marché des transferts. Il est impossible de conclure la vente aussi vite. De bonne composition, les vendeurs acceptent de prendre en charge le recrutement initié par Dominici, mais à condition que Sotaco offre une garantie.
Ben Romdhane présente un chèque de 6 millions d'euros de la CommerzBank. Les membres de la DNACG sont sceptiques, les vendeurs aussi. Philippe Baillard s'emporte. Un témoin raconte : « Il a alors dit qu'il valait mieux arrêter là si les vendeurs n'avaient pas confiance dans un chèque. » Samir Ben Romdhane n'a donc jamais racheté Béziers. Ses proches assurent qu'il n'est pas responsable puisque son associé émirien se serait retiré.
Malgré cet échec, l'ancien joueur et Ben Romdhane ont continué de se fréquenter. Cela peut surprendre mais, pour atténuer la déception de Dominici, l'homme d'affaires lui promet un pourcentage sur la vente de barils de pétrole. Le contrat est incroyable. Dominici le signe.
Il propose au père de Christophe Dominici de fêter ses 80 ans sur un yacht
En août 2020, Ben Romdhane, avec sa famille, passe même une dizaine de jours à Sollies-Pont, dans le Var, chez les parents de l'ancien joueur de Toulon. « Ils sont arrivés en voiture, raconte Jean-Marie, son père. Une voiture modeste. J'ai trouvé ça bizarre pour un milliardaire. » « Moi, je suis allé avec monsieur Ben Romdhane et son épouse visiter dans la région de Cannes une villa à 11 millions d'euros, se souvient Nicole, la maman de Dominici. Sa femme était emballée, elle voulait seulement changer la cuisine. »
Durant notre enquête, on a effectivement découvert que Samir Ben Romdhane avait promis l'acquisition de nombreux biens immobiliers. Il y a le fameux appartement meublé de 230 m2 du VIIIe arrondissement, dans lequel vit sa famille depuis deux ans. « Ils squattent, tout simplement, et j'ai lancé une procédure d'expulsion et fait venir un huissier », jure Alain Proux, le propriétaire. Et puis, un jour, un agent immobilier du village varois où sont installés les parents Dominici passe à l'improviste pour proposer la maison du voisin, qui est à vendre.
Ben Romdhane écoute, s'emballe et dit qu'il est intéressé. Pour des raisons obscures, il est dans l'incapacité de signer le compromis. Il demande au père de Dominici de le faire, d'aller chez le notaire, en attendant de pouvoir débloquer les fonds. Le 24 septembre, dans un mail, Ben Romdhane écrit à Jean-Marie Dominici : « J'ai bien reçu ton mail, je vais signer l'offre, et je t'envoie ça lundi matin... Je vous embrasse très fort. »
Malgré plusieurs relances, l'argent n'arrivera jamais. Le 26 décembre 2020, un mois après la mort de Christophe Dominici, Philippe Baillard envoie un mail aux parents du défunt, et confirme que l'achat ne se fera pas, parce que leur fils est mort, et parce que Ben Romdhane est bloqué à Abu Dhabi... « Avec un délai de quelques jours, écrit-il, je peux par mes activités annexes vous permettre d'obtenir rapidement les refus bancaires nécessaires à vous dégager de la promesse de vente. »
Le club, les immeubles, les villas, le pétrole... Il y a aussi l'achat d'un avion, un Falcon 2 000 qui appartient à feu Olivier Dassault. Un protocole d'accord est signé pour 7,8 millions d'euros. Et puis il y a ce yacht, l'Irimari. Il discute avec le capitaine, et s'engage à l'acheter. Le prix ? 50 millions d'euros. « Il m'a beaucoup parlé de ce bateau, mais on ne l'a jamais vu alors qu'il était apparemment au large de la Ciotat, se remémore Jean-Marie Dominici. Il a même proposé, lorsqu'il était chez nous, d'organiser mes 80 ans à bord. » Du vent...
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