LaRevolte.com

mais quelles sont ces circonstances exceptionnelles motivées ? le quorum ? ils ne connaissent pas Meet, Zoom ou Teams pour se réunir ? avec des baltringues pareils, on ne risque pas d'avancer

Tout ça sent la magouille à plein nez!
Je me répète, ils attendent de voir nos résultats ou alors, c'est politique...suivez mon regard !

la commission d'appel dépend de la FFR et pas de la ligue, des membres ont quitté cette instance, d'autres doivent la rejoindre, en fait depuis l'histoire d'Altrad, Laporte avec cette commission d'appel c'est un peu le "bordel".
pour faire bien le gars dit qu'il n'y a pas le quorum.

s'il faut attendre 1 mois de plus pour qu'ils rendent les pts et les sous ça ira

Eric le Rouge (et bleu) a écrit:

taz.34 a écrit:On est vraiment dans un monde sur realiste on va être jugé par un organisme qui t'inflige 3 pts de pénalité plus 20 000 euros d'amende pour un virement avec 7 jours de retard et eux ils vont nous juger avec 1 mois de retard... Affligeant

C'est cocasse non ?

Entre nous, c'est surtout effarant d'être tenu pas les corones par des imbéciles bureaucrates qui ne montrent pas l'exemple, la preuve ...

Euh par contre c'est peut-être moi qui n'ai rien compris mais en lisant le texte j'ai l'impression qu'ils rendront la décision dans 5 mois (4 habituel + 1 exceptionnel).

NON c'est à compter de mai donc resultat octobre

De toute manière, ça ne changera rien...
IL suffit qu'ils les rendent avant la 30ème journée !

Rugby : Jean-Baptiste Barrère, co-capitaine d’une ASBH qui a le vent en poupe
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Chaque mercredi, Jean-Baptiste Barrère amène son fils Charles à l’entraînement. La relève se prépare ! MIDI LIBRE

Pro D2, Béziers, Rugby XV, ASBH
Publié le 09/09/2021

Le 3e ligne est un des cadres de l’ASBH. À 31 ans, il n’a rien perdu de sa motivation de guerrier et entend aider ses coéquipiers et le club, qui reçoit Aix, ce vendredi 10 septembre, à gravir les sommets.

Mercredi, fin de matinée. Bien que ce soit sa journée de repos, Jean-Baptiste Barrère a rejoint le stade Raoul-Barrière, où vendredi, lui et ses coéquipiers affronteront Provence-Rugby. Comme il aime le faire, il a accompagné Charles, son fils de 3 ans et demi à son entraînement de rugby.

Le troisième ligne biterrois est parfaitement détendu et souriant. Rien à voir avec le visage fermé du guerrier que l’on voit faire des ravages sur les prés. Il savoure l’instant et ne perd surtout pas une miette des courses de son fils. Son coéquipier Éloi Massot est à ses côtés. Lui aussi a accompagné son enfant à la séance du jour.
Un nouveau visage

Jean-Baptiste Barrère vient d’entamer sa septième saison sous les couleurs de l’ASBH. Et il a faim de rugby comme un cadet rêvant de sommet et d’élite !

Changement d’entraîneurs, départs de joueurs clés, arrivées d’autres éléments… Le club a pris un nouveau virage à l’inter saison. Ce n’est pas pour déplaire au troisième ligne qui y voit un autre départ : "Tous ces changements donnent le sentiment que le club avance et c’est très motivant, sourit-il. Nous repartons sur un projet. Je reprends énormément de plaisir. Je suis à 300 % de mes capacités et je me régale."
"Je suis là pour aider"

Dès son arrivée à la tête du club, Pierre Caillet, le nouvel entraîneur de l’ASBH, a pris le parti d’inculquer à ses joueurs un nouvel état d’esprit. Il cherche à leur faire prendre conscience qu’ils évoluent dans un club au passé mythique, où la notion de combat doit demeurer. Pour lui, pas d’alternative : Béziers doit être respecté et craint par ses pairs.

Pour ce faire, il s’est reposé sur certains de ses cadres. Il s’est, entre autres, naturellement tourné vers Jean-Baptiste Barrère, le troisième ligne étant à l’image de cette mentalité qu’il souhaite insuffler au sein du club : "Pierre m’a dit qu’il comptait sur moi pour prendre un peu plus de responsabilités dans l’équipe, explique "Jean-Ba". J’ai accepté d’être co-capitaine avec Maxime Espeut, sachant que le capitaine, c’est Thibaut Bisman. Je suis là pour aider. Avec Thibaut et Max, nous savons que nous pouvons compter les uns sur les autres. Nous nous entraidons, nous nous faisons confiance et nous avons les mêmes idées."
Un conseil des sages

Joueur de devoir, véritable soutier du pack n’hésitant jamais à mettre la tête où d’autres n’oseraient pas mettre un doigt, il adhère plus que jamais au discours de ses coaches et de ses dirigeants qui entendent mettre en place une certaine identité biterroise : "Nous voulons nous recentrer sur le club, sur la ville, assure-t-il. Thibaut Bisman et Max Espeut incarnent d’ailleurs très bien tout cela puisqu’ils sont d’ici."

Créer cet état d’esprit a demandé des "règles de vie au sein du groupe, précise le Biterrois. Nous avons instauré une ligne de conduite que nous voulons garder. En fait, des joueurs ont été élus par nous tous pour faire respecter tout cela. C’est une sorte de conseil des sages dans lequel il y a d’anciens joueurs, des jeunes et des étrangers. L’identité de club que nous cherchons à avoir est d’être pénibles à jouer, d’être rudes devant, un peu comme l’étaient les anciennes gloires du club. Il ne faut pas qu’il y ait de match facile à jouer face à Béziers. Si nous perdons, il faut que ceux qui auront gagné se disent qu’ils sont vraiment allés se la chercher, cette victoire. Pour l’instant, l’ensemble du groupe adhère à tout cela et c’est le plus important."
Portés par l’élan

La formule semble, en effet, porter ses fruits. Si la saison passée, l’ASBH a parfois souffert d’un manque de leaders et de joueurs de caractère, ce n’est plus le cas.

Portés par le nouvel élan qui règne au sein du club, des jeunes s’affirment. Ils n’hésitent pas à s’imposer dans un groupe où règne une franche bonne humeur. Et ce même si le travail demeure rude : "En accord, bien entendu, avec les coaches, nous nous sommes fixé des objectifs entre joueurs", s’enthousiasme Jean-Baptiste Barrère.

"C’est, par exemple, le cas au niveau de la défense, de l’attaque ou encore du nombre de points à marquer par bloc. Respecter tout cela est très motivant ! Mais attention, ce n’est que le début. Nous avons effectivement bien commencé le championnat avec nos deux victoires. Mais cela va très vite. Les leaders doivent faire en sorte de faire respecter tout ce que nous nous sommes dit et cela tout au long de la saison. Notre rôle sera d’ailleurs très important, surtout si nous rencontrons des passages à vide…"

Battre Aix-en-Provence enverrait un signal fort, marquerait les esprits de la Pro D2

La venue d’Aix-en-Provence, ce vendredi, est un virage intéressant à négocier pour l’ASBH qui entend continuer à briller : "Aix est une très bonne équipe avec des joueurs ambitieux, prévient Jean-Ba. Il nous faut maintenant confirmer et valider la victoire à Agen. Trois succès permettraient d’enclencher une réelle dynamique. Surtout, cela enverrait un signal fort, marquerait les esprits de la Pro D2."

Jean-Baptiste Barrère ne sera en tout cas pas le dernier à mettre le bleu de chauffe face aux Provençaux. Parce qu’au-delà de jouer devant un public retrouvé qui le transcende, dans les gradins, sa petite famille sera aussi là pour l’encourager. Et pour rien au monde, il ne voudrait la décevoir.
Lors de la 6e journée, le match de Béziers à Bayonne aura lieu à 20 h 45 le vendredi 8 octobre. Il sera diffusé sur Canal + sport.

Voilà un discours qui me plait beaucoup!

Rugby : Béziers a encore besoin de grandir pour entrer dans la cour des grands
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Rugby XV, Pro D2, Béziers, ASBH
Publié le 12/09/2021

Face à Aix (24-25), l’ASBH a manqué de maîtrise et de constance en 2e période.

Dans la moiteur et la chaleur lourde qui régnait, vendredi soir, au stade Raoul-Barrière, la douche froide a été glaciale pour les Biterrois. Battus d’un point (24-25) par Provence Rugby, ils ont raté l’occasion d’enchaîner trois succès de rang.

Surtout, ils ont gâché leur plaisir et ont anéanti leurs efforts effectués pour gagner à Agen, le week-end précédent. En sachant qu’ils ont aussi, d’ores et déjà, raté leur pari de demeurer invaincus sur leur pré.

Certes, perdre à domicile, après seulement trois journées de championnat, n’a rien d’une catastrophe. L’ASBH qui compte toujours trois points de pénalité est 9e à deux points du 6e. Pas de quoi s’affoler.

Mais le plus rageant dans ce mauvais scénario ovale est d’avoir vu Béziers largement mener (24-10), maîtriser son sujet face à une grosse cylindrée, puis s’étioler au fil des minutes en accumulant les fautes et les erreurs tactiques.
Beaucoup de déception

De quoi, en l’espace de trente minutes, effacer tout un travail rondement mené au-delà de la première mi-temps : "Cette rencontre pouvait être un tremplin, regrette, amer, l’arrière Charly Malié. Mais nous avons fait ce qu’il fallait pendant seulement 50 minutes. Ensuite, nous avons joué avec le feu. Il y a beaucoup de déception car ce match était largement à notre portée."

Il est évident que dans son duel avec Provence Rugby, en seconde mi-temps, Béziers a singulièrement manqué de maîtrise. Certains ont parfois négligé le travail collectif, leur force jusqu’à présent : "Quand nous mettons les choses dans l’ordre et dans leur contexte, on voit que c’est efficace et que nous sommes capables de mettre à mal n’importe qui", relève Charly Malié.

"Mais dès que l’on commence à vouloir jouer individuellement, que l’on fait de petites fautes, que l’on manque de vigilance, que l’on plaque haut dans leur camp, que l’on fait des choses complètement stupides, cela remet les adversaires dans notre camp et ils marquent des points. C’est une leçon que nous avons prise et il faut l’apprendre. Car perdre des points comme cela, c’est catastrophique."

Être battu par Provence Rugby après deux victoires consécutives qui ont mis en confiance et quand de surcroît, on mène largement au score, est une évidente contre-performance.
Redresser la barre à Montauban

Le coup de pied aux fesses doit être retenu pour la suite : "Il ne faut pas nous prendre pour des autres. Et ce n’est pas le cas, assure toutefois l’arrière de l’ASBH, en songeant à la prestation livrée face à Aix. Nous devons nous resserrer et gommer les fautes stupides que nous faisons. Il faut aussi être capable d’appuyer sur l’accélérateur et d’enfoncer les équipes quand elles sont à notre portée."

En sachant que, du coup, Béziers se déplacera, vendredi prochain, à Montauban, avec un peu plus de pression que prévu sur les épaules. Car, au risque de se refiler la migraine, il lui faut rebondir : "Au lieu d’aller là-bas chercher un bonus, il faut maintenant ramener une victoire, prévient Karne Kaufana, l’entraîneur des arrières de l’ASBH. J’espère que nous verrons une équipe biterroise qui a du caractère, comme ce fut le cas d’Aix-en-Provence qui était mené 24-10..."

Briller à Sapiac pour faire oublier une défaite qui ne peut être nourrie que de regrets. Et qui montre que Béziers doit encore grandir en termes de constance et de maîtrise. C’est impératif pour entrer dans la cour des grands

du changement dans l'équipe en prévision

focus sur Porical le coach des 3/4

Rugby : Jérôme Porical, l’ex arrière devenu professeur ès coups de pied à l 'ASBH
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L’ex arrière est le papa de Mattéo, 3 ans et demi et d’Anna, 4 mois. L’ex arrière est le papa de Mattéo, 3 ans et demi et d’Anna, 4 mois.


ASBH, Pro D2, Béziers, Rugby XV
Publié le 23/09/2021

L’ancien joueur transmet son savoir-faire aux joueurs depuis deux ans. Il a totalement intégré le staff cette saison et confie s’épanouir dans sa vie d’entraîneur.

"Restez dans le couloir ! Cinq frappes chacun. Attrapez normalement les ballons, faîtes comme quand vous êtes dans un match" : Au milieu du terrain d’honneur du stade Raoul-Barrière, Jérôme Porical dirige son entraînement du mercredi matin, à destination des buteurs.

Ils sont une douzaine, y compris des jeunes du centre de formation, à frapper dans les ballons. Tels des métronomes, ils révisent leurs gammes sous les yeux de l’ancien arrière et buteur.

Dégagements pour travailler la règle des 50-22, travail en binôme demi de mêlée-demi d’ouverture, l’ouvreur dégageant le ballon envoyé à la main, tirs au but pour finir… La séance est intense mais se déroule dans la bonne humeur.
"J’ai joué mon dernier match sans le savoir"

Quant à Jérôme Porical, il savoure son nouveau job d’entraîneur. Il a mis fin à carrière lorsqu’en mars 2020, la pandémie de Covid-19 a amené l’arrêt des championnats. Sur le sujet, l’ex-arrière demeure fataliste : "J’ai joué mon dernier match sans le savoir", relève-t-il en souriant.

"J’allais sur mes 35 ans. J’avais encore les jambes pour faire une saison de plus, mais le club a pris la décision de rajeunir l’effectif. Je n’avais pas envie d’aller ailleurs. Je me suis arrêté de jouer alors que j’étais en forme. Je ne vais pas dire que parfois cela me manque. Mais aujourd’hui, je m’épanouis, le relais s’est très bien passé."

"En fait quand j’ai arrêté, David Aucagne m’a demandé de travailler le jeu au pied avec les joueurs. Ce que j’ai fait d’un point de vue technique. Cette saison, Pierre Caillet m’a proposé de faire travailler les sorties de camp, le fait de s’organiser par rapport aux zones et aux lignes, de faire en sorte de gagner du terrain en sortie de son territoire."
Diplômé en 2017

Songeant depuis quelques années à une éventuelle reconversion, Jérôme Porical avait passé son diplôme d’entraîneur en 2017, juste avant de débarquer à Béziers, en provenance de Lyon : "J’avais dans un coin de ma tête l’idée de rester dans le rugby", ne cache-t-il pas.

"Je fais partie intégrante du staff. Je participe à tous les entraînements des trois-quarts. Je suis l’adjoint de Karne Kaufana. Pierre Caillet souhaitait avoir trois personnes avec lui qui soient capables d’entraîner. En termes d’expérience, c’est tout bonus pour moi !"

Mener des hommes permet à l’ancien joueur de rester sur le terrain, au contact des athlètes. Ce qu’il apprécie grandement : "Je prends vraiment beaucoup de plaisir à faire ce que je fais", relève celui qui a ressenti le besoin de transmettre son savoir-faire ces dernières années.

"C’est effectivement venu sur le tard. En sachant que même si j’ai toujours aimé parler à mes ailiers, je n’ai jamais vraiment eu un profil de leader. J’ai toujours justement évolué avec de grands joueurs qui en étaient déjà. Cela a changé quand je suis arrivé à Béziers, car je me suis retrouvé parmi les joueurs les plus expérimentés. Mon expérience et ma maturité ont fait que je me suis mis à parler de plus en plus. Cela s’est fait naturellement."

Il est important de trouver de la répétition dans le geste, ce qui permet d’avoir ensuite plus de régularité

La séance de travail de ce mercredi a laissé entrevoir pas mal de potentiel chez certains. De quoi ravir l’ancien arrière qui compte sur cette relève : "Nous avons un effectif large, analyse le technicien. Du coup, il faut que les joueurs jouent un maximum pour gagner en maturité. Il est important de trouver de la répétition dans le geste, ce qui permet d’avoir ensuite plus de régularité."

Installé à Béziers et marié à Aude, une Biterroise qu’il a rencontrée lorsqu’il jouait à l’Usap (de 2006 à 2012), il n’envisage pas, pour l’heure, de quitter la cité de Paul-Riquet.

D’autant qu’avec son épouse, il se lance dans une nouvelle aventure. Une fois n’est pas coutume, il n’est pas question de rugby : "Nous allons ouvrir prochainement une boutique de produits locaux", s’enthousiasme Jérôme Porical.
Une nouvelle aventure

"Il y aura de l’alimentaire, mais aussi des produits cosmétiques. Tout sera vendu dans des bocaux en verre afin qu’il n’y ait pas d’emballages en plastique. On va dire que cette boutique sera le socle de ma reconversion !"

Elle sera ouverte au rez-de-chaussée du restaurant la Marjolaine, situé face à la piscine. L’ouverture devrait être effective dans environ un mois.

Mais en attendant, c’est sur les prés que se concentre Jérôme Porical. Cette semaine, c’est en songeant à la venue de Nevers ce vendredi (19 h 30) qu’il a préparé ses joueurs. Parce que le jeu au pied sera une fois encore crucial. Notamment avec l’arrivée des nouvelles règles.
DNACG : c’est ce mercredi 23 septembre en début d’après-midi que le club a vu son appel jugé en visioconférence. La séance a duré 1 h 30, les dirigeants de l’ASBH ayant demandé au gendarme financier de la Ligue d’être indulgent compte tenu de la situation saine du club aujourd’hui. La décision sera rendue d’ici 48 à 72 heures.
Laurent FRANÇOIS

Merci pour cet article!

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BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO!!!!

Et merci à ceux qui ont su défendre notre club !!!

donc on pourrait se retrouver dans le peloton des qualifiables après le premier bloc c'est déjà ça

super!!
disons que si on prend le bonus defensif demain, c'est comme si on avait gagné (3+1)

ça n'enlève pas l'obligation de battre Nevers mais p... que ça va faire du bien !

ca va pas non plus rehausser le niveau technique actuel de l'equipe, mais j'espere donner un petit coup de motivation en plus..

MIDI LIBRE / Rugby : l'ASBH récupère ses trois points de pénalité

Un soulagement pour les Biterrois.


Rugby XV, Pro D2, Béziers, ASBH
Publié le 23/09/2021 à 17:38

La DNACG, le gendarme financier de la Ligue nationale de rugby avait sanctionné le club d'un retrait de trois points et d'une amende de 20 000 euros. Jugé en appel mercredi 22 septembre, le retrait des points a été mis en sursis.

Fin juillet, la DNACG, le gendarme financier de la Ligue nationale de rugby avait sanctionné d'un retrait de trois points l'ASBH et lui avait infligé une amende de 20 000 €. Cette sanction avait été motivée, selon les propos des instances la DNACG, pour un "non-respect des décisions de la DNACG s'agissant de l'application des garanties qui avaient été présentées par le club au début de la saison 2020/2021. Cette sanction prend en compte le fait que club a pu néanmoins présenter une situation financière positive au terme de la saison". Le club avait en fait été épinglé à cause d'un virement bancaire qui était intervenu sept jours trop tard. Rapidement, les dirigeants de l'ASBH avaient fait appel de cette sanction, arguant de leur bonne foi et du fait que les finances du club avaient été remises à flot.
Un appel salvateur

Ce mercredi 22 septembre, en visioconférence, les dirigeants biterrois, y compris Robert Ménard, le maire de Béziers et patron du club, ont été appelés par les membres de la Formation régulation de la commission fédérale d’appel de la DNACG à se défendre.

Après étude de leurs arguments, les responsables du gendarme financier de la LNR ont donc décidé de commuer la peine par du sursis. Du coup, Béziers qui était 11e du classement avec 6 points au compteur, revient à égalité de points de Grenoble, le 7e. Il devra toutefois s'acquitter de son amende de 20 000 euros.

Juste avant Nevers, moralement c'est parfait !

Altrad a dit qu' il payait l amende ,il lui suffit de vider une poche de son veston

C est serieux que altrad paye l amende ou c est une boutade?

panz a écrit:C est serieux que altrad paye l amende ou c est une boutade?

Ce smiley indique que c' est une grosse blague.

Rebaut le bas a écrit:Altrad a dit qu' il payait l amende ,il lui suffit de vider une poche de son veston

Sacré Eric, tu n'en loupe pas une sur Altrad !

Hart est plus jeune et est encore en activité....Josh plus vieux sans doute plus cher, plus de pénalités contre nous et plus de cartons donc mon choix est vite fait

Hart c'est pas mal ça.....

Également Hart sans hésiter.

Et puis il est JIFF... Ce n'est pas négligeable. C'est aussi un N9 avec un bon jeu au pied. Il est buteur. Il parle parfaitement le français et il a un âge qui permettrait de se projeter dans le futur s'il faisait l'affaire. C'est certain que cela serait un choix pertinent.

Valentine est passé à l’entraînement ce matin

Le fameux retournement de situation dont je parlais...on a enfin compris qu’il ne coûterait pas cher et qu’il pouvait arriver rapidement, en sachant qu’il n’est pas manchot

a la retraite depuis 18 mois...c est pas sérieux !